Encore des p'tites fleurs...
samedi 24 mai 2008
jeudi 22 mai 2008
mercredi 21 mai 2008
samedi 17 mai 2008
Grouiîïk !
En déposant des flyers pour communiquer sur notre activité biplace, j'ai découvert le "Musée vivant du cochon"
jeudi 15 mai 2008
Petites Annonces
1°) Recherche Navette Man
Pour les mois de Juillet/Aout, sur région de Montélimar et environs.
En échange : formation au brevet de pilote parapente théorique et pratique.
Permis B nécessaire (avec les points)
mail: contact@dynamicparapente.com
web: dynamicparapente.com
2°) A vendre : Parapente Advance Omega7 26 (80-103kg)
DHV 2/3 Finesse 10
Orange
100 heures de vols, bon état
1300€
mail: frederic_avenet@yahoo.fr
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mercredi 14 mai 2008
Drome
"Superator" une machine pour Jo
P'tit nénuphar et sa grenouille
Pas de vol à Roynac, trop de vent.
P'tit nénuphar et sa grenouille
Pas de vol à Roynac, trop de vent.
dimanche 11 mai 2008
St Hil Compétition J2
Les conditions semblent similaires à la veille même si elles tardent un peu à s'installer. La manche définie est un peu plus dans le bocal. Je suis mal placé au moment du start et je galère pour prendre un peu de hauteur. Je suis bien en retard pour passer la première balise mais ensuite je tiens absolument à prendre le temps de remontrer sur la crête pour aller chercher la balise suivante alors que les champions foncent en restant sur les avants reliefs.
Doucement j'arrive sous les nuages et progresse toujours aussi lentement. Il y a des gros développements dans la Chartreuse. Nous volons juste sur le bord de gros congestus.
En dessous, les premiers peinent alors que je fais facilement la balise, puis je reviens tout aussi tranquillement vers la dent de Crolle ou j'assure un plein un peu excessif dans les barbules vers 2900m pour faire les 2 dernières balises dans la vallée en un coup.
J'arrive encore très haut au dessus du but et je peux même me reposer au déco à coté de la voiture.
J'ai bien volé et je fais une belle 7ieme place sur cette manche. J'ai donc un peu de regret de ne pas avoir une aile plus compétitive. Je suis satisfait de mes choix tactiques qui ont été payant. Au dessus il y a des gros nuages et nous avons un peu de grêles pendant la remise des prix. J'ai un DVD :-)
Doucement j'arrive sous les nuages et progresse toujours aussi lentement. Il y a des gros développements dans la Chartreuse. Nous volons juste sur le bord de gros congestus.
En dessous, les premiers peinent alors que je fais facilement la balise, puis je reviens tout aussi tranquillement vers la dent de Crolle ou j'assure un plein un peu excessif dans les barbules vers 2900m pour faire les 2 dernières balises dans la vallée en un coup.
J'arrive encore très haut au dessus du but et je peux même me reposer au déco à coté de la voiture.
J'ai bien volé et je fais une belle 7ieme place sur cette manche. J'ai donc un peu de regret de ne pas avoir une aile plus compétitive. Je suis satisfait de mes choix tactiques qui ont été payant. Au dessus il y a des gros nuages et nous avons un peu de grêles pendant la remise des prix. J'ai un DVD :-)
samedi 10 mai 2008
St Hil Compétition J1
On est pas loin de 90 pilotes et les conditions semblent sympathiques. Je décolle et suis dans le rythme de l'épreuve même si je ne suis pas super bien placé pour le départ. Comme nous sommes cote à cote je me rend compte que je suis un peu plus lent que tout le monde. Je suis en milieu de fourchette mais je vois bien que c'est très pénalisant, je dois rendre 1 ou 2 km/h à d'autres pilotes avec le même modèle. Je progresse bien même si je suis distancé. Je passe facilement la première balise, galère pour monter un peu au dessus de la crête et atteindre la deuxième balise dans la chartreuse. Y a un gros nuage au dessus et je monte comme une fusée, un peu trop même car je dois fuir le nuage que je traverse un tout petit peu avec les oreilles, fair-play je reviens un poil en arrière pour ne pas profiter de mon avantage. Heureusement j'ai pas crevé la limite de 3100m.
Derrière moi un compétiteur se prend un vrac dans dans le nuage et utilise son parachute de secours alors qu'il est à plus de 3000m. Il finira dans les sapins sans soucis. Je rejoins la dent de Crolle puis je fais un rapide aller retour dans la vallée pour attraper la troisième balise.
Je suis encore dans la course et pas trop loin des premiers. Je remonte la crête pour me placer au plus près de la balise suivante et refaire un bon plafond. Comme je suis haut je passe la quatrième balise et je continue en pleine vallée pour passer aussi la cinquième. Là, faut vite prendre une décision, revenir sur la dent de Crolle refaire un gros plein pour traverser la vallée ou bien tenter le coup comme la meute des premiers et foncer directement en face. Je choisis de revenir vers la dent, j'arrive au niveau de pare-avalanches mais impossible de monter. Je m'énerve et n'arrive à rien. Je dois redescendre niveau du déco ou je suis particulièrement mauvais. Je décide de partir dans des combes qui me semblent mieux orientées par rapport à la brise. Je me fais brassé, je trouve rien et je reviens penaud bas sous le déco. Je suis plus du tout du tout dans le rythme et j'ai perdu au moins 1 heure. Je pense même aller à l'attéro qui me tend les bras juste en dessous. Je me calme, j'enroule doucement un thermique avec des biplaces et je peux enfin me jeter sous la dent de Crolle ou je remonte la crête et assure des pleins sans me soucier du temps. Je profite de ce vol. Vers 2900m je quitte le relief pour chercher la dernière balise de l'autre coté de la vallée.
J'ai rien de trop pour faire la balise, puis je glisse vent arrière vers le but ou j'arrive tranquillement avec pas mal de hauteur. Je suis dans les derniers à boucler le parcours.
J'ai mis 2 heures de plus que les premiers mais j'apprends que nous sommes seulement 1/3 à faire le parcours. En fait mon option de revenir vers la dent n'était pas si idiote que ça. Dans les furieux du groupe de tête, pas mal d'entre eux n'ont pas survécu à la transition directe vers la dernière balise. Arf ;-)
Si je veux être plus performant, il va falloir que je change mon aile pour une taille un peu plus petite car j'embarque déjà pas mal de lest et j'ai pas envie de me charger plus pour gagner un chouia en vitesse.
Derrière moi un compétiteur se prend un vrac dans dans le nuage et utilise son parachute de secours alors qu'il est à plus de 3000m. Il finira dans les sapins sans soucis. Je rejoins la dent de Crolle puis je fais un rapide aller retour dans la vallée pour attraper la troisième balise.
Je suis encore dans la course et pas trop loin des premiers. Je remonte la crête pour me placer au plus près de la balise suivante et refaire un bon plafond. Comme je suis haut je passe la quatrième balise et je continue en pleine vallée pour passer aussi la cinquième. Là, faut vite prendre une décision, revenir sur la dent de Crolle refaire un gros plein pour traverser la vallée ou bien tenter le coup comme la meute des premiers et foncer directement en face. Je choisis de revenir vers la dent, j'arrive au niveau de pare-avalanches mais impossible de monter. Je m'énerve et n'arrive à rien. Je dois redescendre niveau du déco ou je suis particulièrement mauvais. Je décide de partir dans des combes qui me semblent mieux orientées par rapport à la brise. Je me fais brassé, je trouve rien et je reviens penaud bas sous le déco. Je suis plus du tout du tout dans le rythme et j'ai perdu au moins 1 heure. Je pense même aller à l'attéro qui me tend les bras juste en dessous. Je me calme, j'enroule doucement un thermique avec des biplaces et je peux enfin me jeter sous la dent de Crolle ou je remonte la crête et assure des pleins sans me soucier du temps. Je profite de ce vol. Vers 2900m je quitte le relief pour chercher la dernière balise de l'autre coté de la vallée.
J'ai rien de trop pour faire la balise, puis je glisse vent arrière vers le but ou j'arrive tranquillement avec pas mal de hauteur. Je suis dans les derniers à boucler le parcours.
J'ai mis 2 heures de plus que les premiers mais j'apprends que nous sommes seulement 1/3 à faire le parcours. En fait mon option de revenir vers la dent n'était pas si idiote que ça. Dans les furieux du groupe de tête, pas mal d'entre eux n'ont pas survécu à la transition directe vers la dernière balise. Arf ;-)
Si je veux être plus performant, il va falloir que je change mon aile pour une taille un peu plus petite car j'embarque déjà pas mal de lest et j'ai pas envie de me charger plus pour gagner un chouia en vitesse.
vendredi 9 mai 2008
lundi 5 mai 2008
Annecy (encore et toujours)
Une petite heure de vol sur Annecy.
Mais il y a du Nord Est et ça bouge un peu. Comme j'ai eu ma dose de sensations durant le weekend je ne m'attarde pas trop et savoure simplement le fait d'être en l'air.
Une petite vidéo d'un 360 bien envoyé ou je me reprends les turbulences de ma trainée...
Youp'la...
Mais il y a du Nord Est et ça bouge un peu. Comme j'ai eu ma dose de sensations durant le weekend je ne m'attarde pas trop et savoure simplement le fait d'être en l'air.
Une petite vidéo d'un 360 bien envoyé ou je me reprends les turbulences de ma trainée...
Youp'la...
dimanche 4 mai 2008
Compétition au Revard 2/2
Je suis très fatigué et pas bien du tout. J'ai beaucoup bu mais j'ai pas encore récupéré au point qu'au décollage je ne suis pas sur de voler. Mais la fenêtre de décollage est très large et surtout un peu retardée car les ascendances mettent du temps à s'installer et je me sens un peu mieux pour décoller. Comme hier, je tarde un peu pour rejoindre le plafond. Olivier et Christophe quittent le start, je les suis mais pas satisfait de mon départ je fais demi tour pour repartir avec dans de meilleures conditions. Bon en fait je ne suis pas vraiment mieux placer dans la masse d'air mais j'ai un très bon pilote dans le collimateur qui va me servir de lièvre. Je progresse assez vite. Je suis un peu moins rapide que mon camarade de vol mais je compense avec des trajectoires mieux choisies. Je rattrape Olivier avec le Semnoz et je retrouve Christophe au même endroit en revenant du Semnoz. De nouveau sur la crête du Revard il n'y a plus qu'à appuyer sur l'accélérateur pour un dernier zigzag avant de plonger vers le but à l'atterrissage. Je boucle en 2h00 le parcours. J'ai encore des réglages à faire sur le sellette pour mieux utiliser l'accélérateur. Mais je suis vraiment content de ma performance. Je regrette que cette manche n'est pas fait un tour dans les bauges comme la veille. Christophe boucle en 2h30 puis le Colin en 3h00. Je suis 13° et je gagne un Tshirt. Cool nan ?
Compétition au Revard 1/2
Je retrouve Olivier et la Colinette, Christophe ainsi que Seb à l'atterrissage de Verel (à coté de Chambéry). On termine gentillement notre inscription et puis nous montons au décollage. Nous patientons sous un ciel bleu et les conditions semblent correctes. La manche prévue nous fait remonter le relief jusqu'au Semnoz, un petit tour dans les Bauges, une balise en haut du Margeriaz, retour sur le relief ou nous tournons une dernière balise pour un retour à l'atterro.
La manche est une course au but (un contre la montre) et nous décollons pas trop tard. Je suis encore dans les réglages de ma sellette et je galère un peu pour rejoindre le haut de la crête. Ça bouge pas mal, il y a du vent d'est et donc nous volons... sous le vent. Ca devient farceur au niveau du Revard, les ailes ont des mouvements bien curieux... Tout le monde cherche à monter le plus possible pour ne pas avoir à passer le long du relief. Je tente 2 fois le passage mais ça devient trop malsain et je décide d'abandonner. Je quitte la meute et je repars vers le décollage. Là, je touche un thermique bien costaud (+7m/s) qui m'envoie rapidement vers 2300m. J'ai peut être un chance d'arriver un peu plus haut au niveau du verrou et de le passer. Je retourne donc vers la machine à laver ou je ne vois plus personne. J'en déduis que tout le monde est passé pendant une accalmie et que je suis le dernier. (en fait, la manche vient d'être annulée mais j'avais baissé le son de ma radio). Je force le passage tordu et appuyant bien sur l'accélérateur, ce qui n'empêche pas des moments de marche arrière et de rodéo... c'est assez idiot mais je passe. Après je remonte jusqu'au Semnoz bien persuadé de poursuivre les premiers. Je bascule sur le roc des Boeufs ou j'arrive un poil bas juste sur une petite arrête après la deuxième ligne HT. Je remonte vers 2300m et me dirige vers la balise au milieu des Bauges. C'est là que j'apprends que la manche est annulée. Je raccroche le Margériaz que je remonte assez vite. Je suis un peu inquiet pour la transition de retour vers Chambéry car il faut normalement 2500m et je n'arrive pas à aller plus haut que 2300m. Une aile m'accompagne et nous partons ensemble. Ça passe plutôt bien, sans doute grâce au flux d'est qui nous pousse. Je suis assez fatigué et il faut encore que je bataille pour perdre de l'altitude de rejoindre l'atterrissage. J'ai volé 4 heures et je suis très déshydraté. Effectivement la manche est bien annulée et les conditions étaient bien tordues...
La manche est une course au but (un contre la montre) et nous décollons pas trop tard. Je suis encore dans les réglages de ma sellette et je galère un peu pour rejoindre le haut de la crête. Ça bouge pas mal, il y a du vent d'est et donc nous volons... sous le vent. Ca devient farceur au niveau du Revard, les ailes ont des mouvements bien curieux... Tout le monde cherche à monter le plus possible pour ne pas avoir à passer le long du relief. Je tente 2 fois le passage mais ça devient trop malsain et je décide d'abandonner. Je quitte la meute et je repars vers le décollage. Là, je touche un thermique bien costaud (+7m/s) qui m'envoie rapidement vers 2300m. J'ai peut être un chance d'arriver un peu plus haut au niveau du verrou et de le passer. Je retourne donc vers la machine à laver ou je ne vois plus personne. J'en déduis que tout le monde est passé pendant une accalmie et que je suis le dernier. (en fait, la manche vient d'être annulée mais j'avais baissé le son de ma radio). Je force le passage tordu et appuyant bien sur l'accélérateur, ce qui n'empêche pas des moments de marche arrière et de rodéo... c'est assez idiot mais je passe. Après je remonte jusqu'au Semnoz bien persuadé de poursuivre les premiers. Je bascule sur le roc des Boeufs ou j'arrive un poil bas juste sur une petite arrête après la deuxième ligne HT. Je remonte vers 2300m et me dirige vers la balise au milieu des Bauges. C'est là que j'apprends que la manche est annulée. Je raccroche le Margériaz que je remonte assez vite. Je suis un peu inquiet pour la transition de retour vers Chambéry car il faut normalement 2500m et je n'arrive pas à aller plus haut que 2300m. Une aile m'accompagne et nous partons ensemble. Ça passe plutôt bien, sans doute grâce au flux d'est qui nous pousse. Je suis assez fatigué et il faut encore que je bataille pour perdre de l'altitude de rejoindre l'atterrissage. J'ai volé 4 heures et je suis très déshydraté. Effectivement la manche est bien annulée et les conditions étaient bien tordues...
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