J'ai pris un billet par internet avec Emirates et l'aventure commence à Roissy.
A l'enregistrement j apprend que je suis seulement en liste d attente pour la seconde partie de mon voyage (Dubaï-Sydney). Ensuite mon sac de parapente, jugé trop gros, est exclu des tapis roulants et fini dans un petit chariot à part.
Ca sent le bagage perdu...
Bonne nouvelle, à l embarquement on m appelle pour me donner mon billet Dubai-Sydney, un soucis de moins sauf que le vol prend une heure de retard, ca me chagrine car j'ai peu de temps pour choper mon train à Sydney.
On embarque et je decouvre des petites nouveautés sur les écrans.
On peut choisir de voir l'image d'une caméra filmant vers l'avant de l avion ou une autre visant le sol.
C'est chouette mais la qualité des écrans est toujours aussi pourrave et ça gache tout. Pas grave, j'ai un hublot.
Je saccage la collation
Je regarde un film (ratatouille) bien gentil. Un petit dodo puis j'arrive à Dubai avec le soleil.
C'est vraiment super joli. Pas un arbre, que du desert et ca betonne dans tous les
sens. Magnifique !
Gros moteur, petite ...
Dans la salle d'embarquement je comprend qu'il y aura encore un stop à Bangkok.
En fait l avion fait le circuit Dubai-Bangkok-Sydney-Auckland.
On repart avec encore du retard et on survole des jolis deserts mais la nuit tombe.
A Bangkok on debarque et re embarque, juste le temps de se paumer un peu mais y a d'hotesses prévenantes qui nous orientent.
Le truc bien c'est que le gros à coté de moi reste sur Bangkok et que la place reste libre.
Le soleil se leve de nouveau en arrivant au dessus de l'australie que l on traverse pour rejoindre la cote est.
Le desert
Je sympathise avec mon camarade de rangée (soulagé lui aussi de la place gagnée), c'est un libanais qui bosse à Dubai. Y savait meme pas ou c'est la france. Son anglais est pire que le mien et je l aide pour remplir le p'tit papelard de la douane.
On posse un peu avant 10h heure locale et je sais que j'aurais pas mon train.
Avion cartoon à Sydney
Je passe la douane sans soucis, je me dirige vers le tapis à bagages et je suis questionné deux fois par des agents. J'explique gentillement les raisons de ma présence et je vois passer mon sac sur le serpentin juste quand ils s'en vont. Cool. Faut encore passer un controle pour tous les trucs bidules de quarantaine. Mais le gazier qui aiguille les voyageurs est sympa et il m oriente vers une controleuse tout aussi sympathique. Pour une fois on ne me lave pas les grolles.
Je prend le metro pour rejoindre la gare, j'en profite pour appeler Lee au camping que je serais en retard d'un jour. A la gare, je reserve mon billet pour demain puis je vais au gros backpackers à coté. La je me trouve un pieu dans une chambrée de 6.
Je pose mon matos, prend une douche,et vais voir la piscine tout en haut.
Vu du sommet du backpacker (ou y a la piscine)
Mais ca sent un peu trop le ragondin et je vais plutot sortir mon ordi pour mettre les photos et me connecter à Internet. Je mange aussi un morceau et je retrouve toute la finesse de la gastronomie australienne.
Maintenant je lutte difficilement contre le décalage horaire.
